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Physique spatiale | 2021-2022

Le Modèle Belge de la Plasmasphère (BSPM) a été développé à l’IASB pour simuler l'environnement de plasma froid de la magnétosphère interne de la Terre.
La mission Parker Solar Probe (PSP) a confirmé la présence d'électrons suprathermiques à des distances radiales très faibles, mais elle a aussi détecté, pour la première fois, des ondes électrostatiques à large bande dans le vent solaire proche du Soleil.
Afin d'étudier comment les prévisions météorologiques spatiales peuvent bénéficier de l’apprentissage automatique une étude bibliographique approfondie des approches existantes a été menée conduisant à deux modèles de prévision.
Bulletins de météorologie spatiale sur mesure dans les domaines de l'exploitation des réseaux électriques, de l'aviation, de l'exploitation des engins spatiaux et des services GNSS, y compris les utilisateurs en aval comme les transports terrestres et maritimes.
En utilisant des observations provenant de satellites, nous étudions la dynamique des particules de haute énergie proches de la Terre. La dose de radiation et le taux d’ionisation atmosphérique sont étudiés.
Le détecteur EPT, toujours actif actuellement, fournit des observations exceptionnelles simultanément à celles fournies par les sondes Van Allen Probes de la NASA.
Afin de reconstruire avec précision la trajectoire et la vitesse des météoroïdes au moyen des données BRAMS, nous avons développé une méthode utilisant les détails temporels entre l’apparition des échos de météores enregistrés à différentes stations de réception.
Polarisation des aurores boréales au moyen de l’instrument PLIP, un imageur dédié à la mesure de la polarisation des 3 raies spectrales principales sur un large champ de vision.
Le projet européen H2020 SafeSpace a mis en place un prototype de service contribuant à la sécurité des infrastructures spatiales contre les risques naturels de la météorologie spatiale. L’IASB a été impliqué dans la partie plasmasphère de cette chaîne de modélisation.