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Ingénierie pour l'aéronomie spatiale

Pour étudier la physique et la chimie de la Terre, des atmosphères planétaires et de l'espace interplanétaire, l’institut utilise des instruments installés au sol ou intégrés dans des ballons, des fusées et des satellites. L'un des principaux domaines d'expertise est le sondage à distance de la composition chimique des atmosphères à l'aide de méthodes de spectrométrie allant de l'ultraviolet à l'infrarouge à partir de plateformes terrestres ou en orbite dans l'espace.

L'équipe d'ingénierie de BIRA-IASB joue un rôle majeur dans l’atteinte des objectifs scientifiques. Ses membres sont en effet chargés de la conception et de la fabrication des instruments nécessaires, en collaboration avec des partenaires industriels belges, ainsi que de la mise en place du soutien technique des scientifiques. Leur savoir-faire englobe toutes les étapes du processus, d'une idée jusqu'à un instrument pleinement opérationnel.

ExoMars Nomad instrument design
Nous sommes heureux de pouvoir vous présenter un nouveau film d'introduction, dans lequel l'Institut royal d'Aéronomie Spatiale de Belgique est présenté sous toutes ses facettes. Découvrez les nombreux domaines de recherche et les défis sociétaux dans lesquels l'Institut est actif
L'ESA, l'Agence spatiale européenne, a réduit la liste des candidats pour sa prochaine mission scientifique "moyenne" à trois finalistes : M-Matisse, Plasma Observatory et Theseus.
La mission ExoMars Trace Gas Orbiter (TGO) de l'ESA a – et c’est une première- détecté une lueur nocturne dans l'atmosphère martienne.
L’IASB travaille sur un système optique innovant qui déterminera les concentrations des polluants dans les panaches de fumée des navires, à partir d'un parc éolien dans la Mer du Nord.
Ce 13 avril 2023, la sonde spatiale JUICE de l’ESA décollera à bord d’un lanceur Ariane 5 depuis le centre spatial de Kourou, en Guyane française. Elle étudiera Jupiter et ses lunes de glace, et en particulier Ganymède, le plus grand satellite naturel du Système solaire
Le 2 septembre a marqué le deuxième anniversaire du lancement de PICASSO, la première mission CubeSat de l'Institut royal d'aéronomie spatiale de Belgique.
Les comètes contiennent de la matière organique plus ancienne que le système solaire, comme le montrent les données recueillies par l'instrument DFMS, qui a volé à bord de la sonde Rosetta pour étudier la comète Chury. Un instrument et une découverte auxquels les scientifiques et ingénieurs de l'IASB ont contribué.
Le Pôle Espace d'Uccle ouvrira ses portes les 24 et 25 septembre 2022.
Le 22 juin 2022, notre institut organisera un événement de mise en réseau pour les partenaires des sciences spatiales et de l'industrie. Cet événement « Technology for Aeronomy » vise à permettre à tous les participants d'explorer les possibilités de collaborations dans le cadre de futures missions spatiales et terrestres.
Deux ans après son lancement, ExoMars Trace Gas Orbiter (TGO) s'installe enfin dans son orbite finale autour de Mars. A bord du satellite se trouve l’instrument NOMAD de l’Institut royal d’Aéronomie Spatiale de Belgique (IASB).
L'IASB enverra un instrument vers Vénus. L'instrument VenSpec-H volera avec la mission EnVision, qui vient d'être sélectionnée par l'ESA et dont le lancement est prévu en 2031-2032.
L'IASB prépare un nouvel instrument spatial, 3DEES, en consortium avec l'Université Catholique de Louvain et QinetiQ Space, pour étudier l'environnement radiatif spatial de la Terre, à bord du satellite PROBA-3 de l'ESA.
Une équipe de l'Institut royal d'Aéronomie Spatiale de Belgique travaille à la caractérisation d'un instrument spatial appelé MAJIS, pour la mission JUICE de l'ESA vers la planète Jupiter et ses lunes glacées.
Deux CubeSats belges, PICASSO (de l’Institut royal d’Aéronomie Spatiale de Belgique) et SIMBA (de l’Institut Royal Météorologique), ont été lancés simultanément avec une cinquantaine d'autres petits satellites sur le vol européen inaugural Véga SSMS.
Le picosatellite PICASSO, première mission CubeSat, destiné à l'observation de la Terre et aux sciences spatiales, a été intégré avec succès dans son « déployeur » orbital.
Les mégapoles d' Afrique centrale présentent un intérêt particulier pour les recherches sur la qualité de l'air, car cette région est un « hotspot » de formaldéhyde (H2CO).
Le 10 avril 2019, la prestigieuse revue Nature publie deux articles décrivant les premiers résultats de l'instrument belge NOMAD à bord d'ExoMars Trace Gas Orbiter.